# in this blog of mine, also experienced in wines, there are recipes suitable for wine !!!chefAdrian

venerdì 11 settembre 2020

beer # champagn201#wine & cheese # coktails # Zuppa di pesce #

Soupe de poissons (brodetto) alla Vastese_ingrédients et doses ---1,5 kg Maquereau, Gattuccia di mare, Merluzzo (Nasello), Suro, Scorfano, San Pietro, Gronco, Rosciolo (petit mulet typique de notre région), Arfaciu (Merlano), Sfoglia (Sogliola), Baraccola (Razza), Coda di Rospo (baudroie), Tracina (poisson-araignée), Mazzolina (petite poule d'eau), Bocca' n cao (poisson-prêtre), Panocchia (cigale), Calmar (mollusque semblable à une petite pieuvre), Seiche, Calmar, Merlu, Langoustine, Crevette ou Mazzancolla -380 gr d'huile d'olive extra vierge -1/2 piment en fines tranches - eau de mer ou sel de mer - eau de mer ou sel de mer - eau de mer ou sel de sel de mer
1/4 de litre de vinaigre de vin -5 gousses d'ail ou d'oignon - pain rassis ou sec -1 poivron - 1 paquet de sauce tomate - MÉTHODE-.Hachez finement le persil et l'ail, faites-les revenir dans une casserole et, peu après, ajoutez les tomates rouges que vous aurez préalablement coupées en dés.Ajoutez les moules et les palourdes, nettoyées et lavées.Laissez les mollusques s'ouvrir, puis ajoutez les seiches coupées en morceaux et, peu après, les calmars, dont le temps de cuisson est légèrement inférieur à celui des seiches. Couvrez la marmite avec un couvercle et laissez-la sur un feu modéré pendant environ 10 minutes.Ajoutez ensuite tous les poissons restants, à l'exception des langoustines et des rougets qui doivent être placés en surface car ils cuisent très rapidement. Après avoir mis tout le poisson, vous pouvez verser le vinaigre et la sauce tomate. Ajoutez un peu plus d'huile et ajoutez également le piment et le poivron en dés. Le bouillon doit maintenant cuire pendant environ 30 minutes à couvert et à feu modéré, mieux vaut un feu doux qu'un feu vif. Coupez le pain rassis en tranches et faites des bruschetta, qui serviront à décorer le plat lorsqu'il sera servi à table.



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Confiture de poires au vin rouge :
CONFITURE DE POIRES AU VIN ROUGE
Pour 1 kg de poires ( en prendre des fermes mais pas des vertes ). 35 cl de bon vin rouge - 1 kg de sucre cristallisé - 1 petite pincée de 4 épices- 1 toute petite pointe de couteau de poivre ( pour relever le goût )- env 20 cl d'eau .FATE  COSI >>
On épluche les poires, on enlève pépins et cœur, on les coupe en quartiers et on va les mettre dans une casserole avec le vin rouge, les 4 épices et le poivre.On mélange et on va laisser,cuireà couvert, sur feu doux, jusqu') ce que les poires deviennent tendres.On va ensuite passer le tout, vin rouge compris, au moulin à légumes pour réduire le tout en purée .On va peser cette purée et on prend son poids en sucre.
Dans votre bassine à confiture vous allez préparer un sirop avec le sucre et l'eau et vous faites cuire jusqu'à ce que l'ensemble épaississe ( mais le sirop doit rester clair ).
 Vous versez alors dans ce sirop votre purée de poire, vous mélanger vigoureusement, puis vous allez laisser cuire à feu moyen pendant 25 min jusqu'à ce que l'ensemble épaississe.
 Ensuite il ne vous restera plus qu'à mettre en pots.
  



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Histoire
La culture de la vigne en Champagne remonte à l'époque gallo-romaine quand les Romains plantent les premiers ceps dans la région. Le vignoble est par la suite conservé grâce à l'intérêt que lui porte le clergé, en particulier celui de Reims et celui de Châlons-en-Champagne.
Durant l'époque féodale, les vins de Champagne sont classés parmi les « vins de France » considérés comme produits dans le bassin parisien. Durant le règne d'Henri IV, il acquiert le nom de vin de Champagne sur Paris (mais cette dénomination s'impose plus difficilement dans la région, le terme champagne désignant des terres non fertiles, qui ne peuvent servir que de pâturages aux moutons).
Au cours du XVIIe siècle, les vins de Champagne séduisent de plus en plus d'amateurs dans les cours royales de France et d'Angleterre sous l'impulsion de certaines familles parisiennes qui possèdent des terres en Champagne. Ce siècle marque aussi une évolution des « vins de Champagne » correspondant au désir des consommateurs de vins gris, très faiblement colorés mais qui, selon les vignerons, vieillissent très mal en fûts.
Le champagne est donc rapidement mis en bouteille (vers 1660) afin d'assurer une meilleure conservation des arômes (avec un tirage avant la fin de la première fermentation) mais devient en contrepartie naturellement pétillant (surtout pour les champagnes ayant peu d'alcool, étant peu colorés et dont le tirage est fait à l'équinoxe de printemps). Ce caractère effervescent cause beaucoup de soucis aux vignerons, à tel point qu'il est surnommé « vin du diable » ou « saute-bouchon » à cause des bouteilles qui explosent ou des bouchons qui sautent sous la pression. Pour ces raisons, si les Anglais n'avaient pas été conquis par ce vin pétillant, le champagne ne serait peut-être pas ce qu'il est aujourd'hui, car dès cette époque, les Anglais achètent aux Champenois des tonneaux de vin effervescent en vrac qu'ils se chargeaient de mettre eux-mêmes en bouteilles. Ils avaient aussi observé que la meilleure époque pour provoquer la prise de mousse était le printemps. En 1676, un poète londonien chantait « le champagne effervescent qui ranime rapidement les pauvres amants languissants. »
En 1670, dom Pérignon (1638-1715), un moine cellérier de l'abbaye bénédictine d'Hautvillers, va être le premier à pratiquer l'assemblage du raisin qui améliore la qualité du vin et en fait disparaître certains défauts. C'est aussi dom Pérignon qui introduit l'emploi du bouchon de liège maintenu à la bouteille par une ficelle de chanvre imprégnée d'huile, ce qui permet au vin de garder sa fraîcheur et sa mousse. De plus, il fait renforcer les bouteilles en adoptant un verre plus épais pour éviter que la bouteille n'explose, mais malgré les efforts du moine, l'effervescence du vin reste empirique jusqu'aux recherches de Louis Pasteur sur la fermentation, au XIXe siècle. Les crayères près de son abbaye seront utilisées pour conserver le champagne à température et humidité constante. Par la suite, d'autres caves seront creusées en pleine craie.
Selon le chanoine Jean Godinot qui écrivit en 1718 que « depuis plus de vingt ans le goût des Français s'est déterminé au vin mousseux », le champagne effervescent auraient été donc commercialisé dans des bouteilles spécifiques pour la première fois en France vers 1695. D'autres archives attestent que, en l'an 1729, à Épernay, Nicolas Irénée Ruinart fonde à Reims, le premier négoce en vin de Champagne effervescent, la maison Ruinart. En 1730 est fondée la maison Chanoine Frères à Épernay.
Durant le XVIIIe siècle, le champagne commence à acquérir son rayonnement international, grâce aux propriétaires de célèbres maisons de champagne qui en assurent la promotion comme Florens-Louis Heidsieck ou Claude Moët, puis au XIXe siècle grâce à Pierre-Nicolas-Marie Perriet-Jouët et à la famille Bollinger. De même, certaines femmes après la mort de leur mari continuent le travail de ceux-ci, entre autres Mme Pommery, Mme Perrier et Mme Clicquot (surnommée la « Grande Dame de Champagne ») qui contribuent elles aussi à la notoriété du champagne. Le champagne fut même décrit comme étant le « vin de la civilisation » par Talleyrand.
Avant qu'on apprenne à champagniser les vins blancs, ceux-ci étaient parfois (certaines années) naturellement pétillants. On retrouve une production de vins pétillants naturels aux quatre coins de l'ancienne Champagne, aussi bien dans l'Aube (du côté de Bar-sur-Aube) qu'en Haute-Marne, où le vin de Soyers (région de Bourbonne-les-Bains), vin de cépage produit à partir du meslier doré avait une typicité reconnue, avant l'invasion du phylloxéra en Europe et dans le Monde.
En 1928, l'appellation champagne concernait seulement huit mille hectares et les expéditions se montaient à vingt-quatre millions de bouteilles.

LES CEPAGES UTILISES EN CHAMPAGNE

Chardonnay
Premier cépage blanc de qualité, d'une grande finesse et puissance aromatique. C'est le seul cépage blanc utilisé en Champagne, où il donne des vins aux arômes plus discrets qu'en Bourgogne, avec une acidité plus élevée, mais qui prennent bien la mousse.

Pinot noir
Les vins issus du pinot noir sont d'une couleur peu intense, au bouquet agréable, longs en bouche. Le cépage est vinifié avec le chardonnay et le pinot meunier en Champagne.

Pinot meunier
Les vins de pinot meunier sont peu colorés, moins fins et moins alcooliques que les vins issus du pinot noir. Il est surtout utilisé, grâce à son débourrement tardif, sur les terrains exposés au nord ou au fond des vallées champenoises.

Pinot blanc, pinot gris, petit meslier, arbane, gamay
Le pinot blanc est la forme blanche du pinot noir et non pas le chardonnay qui est lui aussi quelque fois appelé pinot blanc ou pinot blanc chardonnay.
Le pinot gris, aussi appelé fromentot en Champagne, est la forme grise du pinot noir.




# come si fa la birra  : La ricetta della birra è esclusivamente a base di acqua e malto d’orzo, che si ottiene dalla lavorazione dei cereali: orzo, frumento, segale, mais e altri ancora. A questi due ingredienti si aggiungono il lievito, per la fermentazione, e il luppolo, che dà alla birra il caratteristico gusto amaro.La preparazione della birra richiede almeno quattro fasi di lavorazione.
> produzione del malto >La prima fase è il processo di germinazione a cui viene sottoposto l'orzo (o altri cereali) affinché possa diventare malto.
L'orzo viene immerso in acqua a macerare per un periodo che varia dai 2 ai 4 giorni, finché il seme non raggiunge l'umidità desiderata.  A quel punto l'orzo viene posto su griglie di germinazione e lasciato riposare per altri 5/6 giorni, nel corso dei quali i semi iniziano a germogliare e crescere.
L'orzo germinato viene sottoposto ad essiccazione e tostatura per bloccare il processo di germinazione: dalla temperatura con cui vengono effettuati questi due processi dipende il tipo di malto che sarà ottenuto.
>>ammostatura_L'orzo maltato viene macinato e miscelato con acqua tiepida, portata successivamente a temperature più elevate: in questo modo si sviluppa la riattivazione di alcuni enzimi che scindono l’amido in zuccheri semplici e di altri enzimi che scindono le proteine in peptidi ed aminoacidi.Quando l'amido si trasforma in uno zucchero, il maltosio, allora abbiamo ottenuto un insieme omogeneo che prende il nome di “mosto”.
A questo punto si passa alla cottura del mosto, al fine di concentrarlo, chiarificarlo e sterilizzarlo. La durata dell'ebollizione varia a seconda del tipo di birra che si vuole ottenere, ma è raro che si superino le due ore. In questa fase viene aggiunto il luppolo, che conferisce il caratteristico sapore amarognolo alla birra e ne caratterizza l'aroma.
>>> fermantazione_Dopo la cottura il mosto viene lasciato raffreddare alle temperature adatte al tipo di  fermentazione che si vuole ottenere. Infatti le modalità di produzione della birra prevedono due grandi tipologie: le birre ad alta fermentazione e quelle a bassa fermentazione.
L'aggiunta dei lieviti del tipo Saccharomyces Cerevisiae produrrà una birra ad alta fermentazione. Questi lieviti prediligono temperature elevate (16°-30°) e durante il processo di fermentazione salgono in superficie, trasformando lo zucchero in alcol e producendo anidride carbonica. Questo metodo è il più antico e dà origine a birre corpose, dal gusto intenso e aromatico, tipicamente inglesi, in genere raggruppate nelle Ale. Per fare una birra a bassa fermentazione, invece, si usano i lieviti Saccharomyces Carlsbergensis, che prediligono le basse temperature (6°-15°) e lavorano in recipienti chiusi depositandosi sul fondo, in modo che l’anidride carbonica resti nella birra. Questo metodo serve a produrre birre dal gusto leggero e fragrante, generalmente denominate Lager.
Lager, dal tedesco "deposito", sta ad indicare come queste birre trascorrano dopo la fermentazione un lungo periodo di deposito a bassa temperatura (<0°) ne affina il gusto e le rende più stabili nel tempo.
>>>>imbottigliamento_Terminata la fase di maturazione a bassa temperatura, la birra viene filtrata, pastorizzata e imbottigliata.La pastorizzazione consiste nel portare la birra ad una temperatura di 60° per pochi minuti al fine di eliminare qualsiasi batterio dannoso che possa essersi introdotto durante la produzione.Alcune birre, invece, non vengono né filtrate né pastorizzate, e questo conferisce loro quel caratteristico aspetto torbido che dimostra la presenza dei lieviti; altrimenti, al termine di questi due processi, la birra risulterà finalmente limpida, brillante e pronta ad essere consumata. L'accurata filtrazione e il prolungato deposito a bassa temperatura ne garantiscono la conservazione fino alla data di consumo consigliata.





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The Story of Beer # Beer is the world’s oldest and most widely consumed alcoholic beverage and after water and tea is the third most popular drink overall. Currently China is the leading global beer producer with the Czech Republic the greatest consumers with an average of 143 litres of the amber gold sipped each year per person.Join presenter Judith Jones along with travelers across the world as they uncover the extraordinary mysteries behind the delicious elixir.Judith meets historian Peter Haydon to discover the origins of beer consumption where evidence dating back as early as 10,000BC reveals beer was being drunk in the Middle East and ancient Egypt. Beer originated in the Middle East, whilst on the other side of the globe in Mexico, the Aztecs created their own unique version of the drink. Further south in Peru, another great civilization, the Incas, were doing the same as Brianna Barnes discovers in the salt town of Morass whilst sampling a beer made from maize called Chicha. Across the ocean in South Africa, the age-old tradition of beer drinking plays a major role in local rituals and communal ceremonies which Justine Shapiro learns firsthand when she visits the Zulu town of Cape Flats.In Europe, Katy Hasell is in the town of Ardennes in Belgium to learn about the monasteries, which during the Middle Ages, were the largest producers of beer across the continent. Some of these monasteries still brew beer in the age-old traditional way, as historian Peter Haydon discusses when he explains the most integral evolution in the history of brewing – the introduction of the Bavarian flower called hop. Hops where first used by the Germans and eventually came to be new norm in beer production across Europe. Another country as passionate about their beer as the UK is Germany. Here beer is so revered it is also the national drink and home to the world’s longest running and largest, ever popular beer festival, Oktoberfest. Much to her delight, Merrilees Parker visits Munich to experience the 16-day autumnal beer drinking celebrations.Back in London, in the heart of the city under the arches in Bermondsey, micro- breweries are popping up with reinvented takes on traditional brewing methods and flavours, invigorating the once flailing beer industry. Judith meets beer blogger Nathan Nolan on a tour of Bermondsey’s Beer Mile and introduces her to the future of beer, rounding off her tour with a craft beer and food pairing session.

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